Quête

Nouveau dans le pays d'obelia clavendith se diriga vers le clan des guerriers.Il cherchait quelque chose de bien précis, il traversa donc tout le camp jusqu'à qu'il trouve une.....église.Il entra dedans et respira profondément, il alla s'asseoir sur un des bancs et se mit à prier car clavendith était un grand croyant.

"Donne moi la force Thorkan....donne moi la force de combattre les forces du mal et de l'éradiquer une fois pour toute!"pria t'il et il continua jusqu'au matin...


Aprés avoir prit la "précaution" d'être aller prier il visita le camp et jauger les différents guerriers.Il en voyait de toute sorte grand, costaud, maigre,petit, moche, beau....mais il sentait en eux la même chose...le courage!Clavendith eu un petit sourire car cela lui rappeler sa jeunesse où il était fougeu et intrépide. Il avait maintenant acquit l'expérience, ce que tout bon chevalier doit avoir car sans l'expérience on juge un adversaire surtout sur son physique et c'est la pire des choses à faire!!Il continua de regarder les guerriers s'entrainer...en attendant un signe de son dieu.

Bedwyr, ayant reçu une missive de la part du roi des guerriers, s'était immédiatement rendu à la Haute Cité de Pale. Il arriva au galop sur son énorme percheron, suivi par son tout aussi énorme danois, Grufus.

Il posa lestement pied à terre et laissa à l'écuyer le soin de prendre soin de son cheval. Il allait se diriger vers le château lorsqu'il apperçut la démarche d'un homme qui lui était familière.

Il plissa les yeux, cherchant à distinguer les traits du visage de l'individu. C'est alors qu'il reconnut Clavendith et un large sourire illumina son visage. Il se dirigea à grandes enjambées vers son frère d'armes, Grufus sur les talons et lorsqu'il fut près de celui-ci, il dit d'une voix forte et claire :"Clavendith ! Comment oses-tu ne pas venir m'accueillir ?!"

Lorsque le chevalier se retourna pour voir qui lui adressait la paroles, Bedwyr sourit encore plus et ajouta :"Frère, ne me reconnais-tu donc pas pour rester planté devant moi comme un épieu ?!"

Clavendith écarquilla les yeux comme un hibou et souri comme un singe.Sans dire une parole il s'approcha et empoigna fortement son ancien ami.

"Mais que fais-tu ici ?!!!" s'exclama t-il.

Bedwyr laissa échapper un rire sonore et serra son ami contre son coeur à l'en étouffer avant de lui asséner une forte claque dans le dos.

"Hahaha ! Mais je viens sur ordre du Roi Ulric ! A ce que j'ai pu comprendre en chemin, une bataille aurait bientôt lieu !... Tu ne pensais tout de même pas que j'allais te laisser tuer de l'orc sans mot, vieux frère !"dit-il en souriant largement.

"Cela me fait tellement plaisir de te voir ! Cela fait bien trop longtemps que nous ne nous sommes vus ! Dis-moi ! Qu'est-ce qui t'est arrivé durant toutes ces années ?!"demanda-t-il en entourant les épaules de son ami de son bras et en se mettant à marcher dans le camp.

"Aprés avoir défier tout les guerriers du Nord il me fallair de nouveaux défis alors je suis parti à l'aventure.J'ai mené de grandes batailles je me suis même enrolé dans une armée mais en faite ce n'était vraiment pas pour moi... un jour alors que je "parlementé" avec un type dans un bar j'ai entendu une discussion sur le pays d'Obélia et des plans qui se tramé là bas alors sans attendre je suis venu ici à la recherche d'action.Je pense mener ma petite guerre tout seul car suivre des ordres comme un mouton trés peu pour moi..."

Bedwyr, la tête renversée, se mit à rire aux paroles de Clavendith. Une fois qu'il fut calmé, il dit, un sourire en coin :"Eh bien ! Tu ne changeras donc jamais ! Je me rappelle de notre ancien maître d'armes, Tristan... comme tu lui en faisais voir ! Impossible de te faire réaliser un exercice si tu ne le voulais pas : une vraie tête de mule !"

Il secoua doucement la tête, souriant, avant d'ajouter :"En tout cas, à cause de ton vagabondage incessant, tu as râté mon mariage."

Il jeta un regard à Clavendith pour voir comment celui-ci allait réagir à cette nouvelle.

En entendant cela clavendith remit son casque sur sa tête et dit.

"J'étais occupé à combattre 2 throlls dans une caverne car le seigneur d'un bourg n'arrivait pas à les tués donc il m'a demandé d'y aller....ce qui m'a pris pas mal de temps. J'ai su bien longtemps aprés qu'il y avait eu ton mariage.J'ai eu une compagne un certain temps mais une nuit des guerriers de Crinos ont envahi un village et on tout décimer, quand je suis revenu de mission il ne restait rien...."tout en disant cela il s'était arrêter pour regarder l'ancienne porte qui désigné les temps anciens...."

Bedwyr pâlit un peu aux paroles de Clavendith.

"Je suis désolé... J'ignorais que tu avais eu une compagne... Si j'avais su... excuse-moi."dit-il d'une voix pitoyable.

*Quel crétin !*pensa-t-il de lui-même.

Lui, il lui parlait de son bonheur en mariage, de sa douce Belinda sans savoir ce qu'avait enduré son ami.

Il baissa les yeux un court instant avant de relever la tête pour contempler la porte.

"C'est un magnifique ouvrage."commenta-t-il à voix basse.

"Ecoute vielle ami je dois aller rencontrer une personne qui "m'est cher" à la Cité de Lether mais je reviendrai dans un jour... alors adieu euuuu aurevoir" fit Clavendith

Il monta sur son cheval et disparut dans la brume......

Bedwyr fronça les sourcils. Il n'avait pas trop aimé le ton de Clavendith.

*Cela ne présage rien de bon...*ne put-il s'empêcher de penser.

Toutefois, Clavendith savait ce qu'il faisait et Bedwyr ne pouvait pas vraiment le retenir... et pourquoi de toutes manières ? Simplement parce qu'il avait un mauvais pressentiment ?!

*Bah, baliverne... on dirait entendre Belinda... raa les bonnes femmes, elles vous mettent de ces idées dans la tête...*se dit-il en secouant doucement la tête.

Néanmoins, il sourit en pensant à Belinda, quoiqu'il dise, il était follement épris de sa femme...

Un jour plus tard :

Bedwyr s'était levé à l'aube, un mauvais pressentiment serrant son coeur. Pendant toute la matinée, il attendit Clavendith et pour occuper son esprit, il s'était entraîné, s'était occupé de son armure et de Paty. Mais à l'heure du déjeuner, l'attente devenait insoutenable. Il connaissait Clavendith mieux que quiconque et il sentait que quelque chose lui était arrivé.

*Ca ne va pas, ça ne va pas du tout !*pensa-t-il, s'impatientant davantage.

Finalement, il fit sceller Paty et sortit au galop de la Haute-Cité de Pale en direction du royaume de Lether, Grufus sur les talons.